Le 19 avril dernier, Olivier Dussopt, actuel ministre du Travail, a été mis au courant d’un projet majeur pour l’avenir de l’emploi en France. Un rapport lui a été présenté, détaillant la perspective de la création de France Travail, une nouvelle entité destinée à stimuler la correspondance entre les demandeurs d’emploi et les employeurs.

Carole Grandjean, la ministre déléguée chargée de l’Enseignement et de la Formation professionnelle, a également une tâche importante à accomplir. Elle est chargée de mener des consultations avec les partenaires sociaux concernant l’éventuelle instauration d’un reste à charge pour le Compte Personnel de Formation (CPF).

Dans le cadre de sa quête pour atteindre le plein-emploi, le président Emmanuel Macron met de grands espoirs dans la création de France Travail. Cette structure a pour objectif de faciliter la mise en relation entre les demandeurs d’emploi et les entreprises en quête de main-d’œuvre. Le succès de cette initiative repose sur un élément essentiel : les demandeurs d’emploi doivent bénéficier de formations qui correspondent aux besoins précis des employeurs.

La France a réalisé des progrès notables dans ce domaine, mais le chemin à parcourir reste considérable. L’investissement financier en 2021, est de 28,3 milliards d’euros pour l’ensemble de la formation (la formation professionnelle réprénsantant seulement une petite par de cette enveloppe). Les dépenses consacrées par la France à la formation sont deux fois plus élevées que la moyenne des pays de l’Union européenne. Consulter la carte

La Lettonie, la Suède, la République tchèque ou encore la Belgique – surpassent la France en termes d’investissements dans la formation. Cependant, malgré ces investissements conséquents, la question reste ouverte quant à la manière dont ces ressources peuvent être utilisées de manière optimale pour répondre efficacement aux besoins changeants du marché du travail.

Chez Ressources plurielles, notre fil rouge est d’accompagner les apprenants dans une logique de formation expérientielle afin de leur faire vivre concrètement les apprentissages.

Mais également, dans une approche d’analyse réflexive de donner du sens à leurs pratiques professionnelles tout en prenant conscience de leurs montées en compétences jusqu’à la mise à disposition d’outils favorisant l’innovation et l’évolution des organisations.

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